LE Caire - Eco - fady labib - Nariman
Yanny : La Chambre de commerce et d'industrie française "CCIFE",
présidée Mahmoud Al-Kaissy, a organisé un séminaire sur les projets et
développements agricoles les plus importants dans lesquels le pays envisage
d'entrer. La réunion a été animée Dr. Ezzeddin Abu Setit, ministre de
l'Agriculture et de la Réhabilitation des sols, Hassan Behnam Directeur général
de la Chambre, François Pogo, consul général de France au Caire, Jérôme
Bakoune, chef de la mission économique française en Égypte" attaché
commercial", M. Saad Nassar, conseiller auprès du ministre de
l'Agriculture , Mohsen El Beltagy, président de l'Association "HEIA"
pour le développement des exportations horticoles , et Dr. Mona Mehrez Ali
Vice-ministre de l'agriculture et de la restauration des terres ...
Pour sa part Mahmoud
Al-Kaissy, président de la Chambre de commerce et d'industrie française, a
salué le succès de la mission commerciale égyptienne, qui s'est rendue en
France, organisée par la Chambre dans les domaines de l'agriculture et de
l'alimentation.
Dr. Ezzeddine Abou Setit, ministre de
l'Agriculture et de la Réhabilitation des sols, a évoqué la profondeur des
relations historiques entre l'Égypte et la France ainsi que de nombreux
domaines politiques, culturels et économiques, y compris l'agriculture et
l'alimentation, en soulignant l'importance de maximiser la coopération dans de
nombreux domaines économiques, notamment les chaînes de valeur, le
développement de diverses industries basées sur l'agriculture. Sur l'échange
d'expériences et de produits agricoles destinés à l'exportation et à
l'importation, soulignant l'importance du développement et de la participation
d'innovations scientifiques dans le domaine agricole, notamment en ce qui
concerne l'agriculture biologique, Les organisations de la société civile
égyptiennes et françaises ont souligné les efforts déployés par l'État égyptien
pour assurer le succès des plans de mise en œuvre du projet d'un million et
demi d'acres à court, moyen et long terme dans de nombreux gouvernorats et ont
souligné le rôle du secteur privé aux côtés du gouvernement dans la mise en
œuvre de nombreux projets agricoles au cours de la phase actuelle.
Le ministre de l'Agriculture et de la
Récupération des Terres a souligné que l'agriculteur égyptien avait un
partenaire puissant dans la sélection de la culture qu'il entendait cultiver,
il l'a déterminé en fonction des prix du marché et du prix déterminé à l'avance
par le gouvernement en échange de l'importation d'une certaine culture. Abu
Setit a expliqué que les fermes égyptiennes et la nature de chaque saison
influençaient le goût du lait. Il y avait donc une différence dans le goût des
fromages du reste du monde, soulignant que l'Égypte invitait toutes les usines
du monde à produire du fromage pour l'investissement en Égypte.
Le ministre de l'Agriculture a déclaré
que l'Egypte entretenait des relations amicales avec la France depuis que
Napoléon Bonaparte l'avait présentée à la campagne de France, et que de
nombreux projets présentés par la France à l'Egypte, notamment le projet de
métro, ainsi que de nombreux projets et travaux économiques, d'import / export,
que je souhaite "Il y a des leçons à tirer de ce qui s'est passé. Depuis
plusieurs années, l'Egypte produit 160 000 tonnes de pommes de terre. Cette
production dépasse les besoins locaux. La production a atteint 110 000 tonnes
pour l'année en cours", a-t-il déclaré. Nous cherchons à avoir notre
production de canards Donc, il n'y a pas de nouvelle crise ou il y a un surplus
de besoin.
"
Saeed Hanafi, secrétaire général de la Chambre française de commerce et d'industrie, a déclaré: "Izzedine Abu Setit a obtenu un baccalauréat en sciences de l'agriculture en 1977. Il a obtenu son diplôme de maîtrise de l'Université du Minnesota en 1980, Doctorat en sciences agricoles de l’Université de Caroline du Nord (États-Unis), il a mené en 1983 plusieurs recherches sur le contrôle de la canne à sucre et un projet national visant à améliorer la production d’oléagineux. (JICA) pour l’utilisation de systèmes durables de production de cultures vivrières et d’énergie dans la vallée du Nil en Égypte, en utilisant les méthodes de l’eau d’irrigation "en coopération avec 3 universités japonaises.
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